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Merci à Martine Favre pour le texte et à notre photographe officielle pour ses magnifiques images.

Montage des bateaux

[Le Coubertin]

[Le Saint-Sulpice]

Pour cette 26ème édition, deux bateaux du club étaient inscrits, conjointement aux nombreux bateaux de l'aviron universitaire. Comme il n'était pas possible de placer tous les bateaux sur la même remorque, nous avons pu utiliser celle de Nyon en échange du prêt de l'"évasion" aux compétiteurs et de la mise à disposition de chauffeurs (ce qui a permis aux Nyonnais de dormir dans le train). Après un voyage en train agrémenté par le réveil "salsa" des universitaires genevois, le samedi fut consacré à un petit tour dans Venise, au montage des bateaux et à une brève sortie sur l'eau, les conditions n'étant pas excellentes.

Mise à l'eau

[Jean-François et son génial ponton]
[Le Saint-Sulpice au passage du mur]	[Avec le Huit'popotame (UNI-EPFL)]
[Au tour du Coubertin]

Dimanche matin, départ pour le club d'aviron où nous avons laissé les bateaux et mise à l'eau facilitée par l'expérience des années précédentes. Tous les bateaux se retrouvent au départ (ou plutôt quelques centaines de mètres avant avec les autres bateaux d'aviron qui sont plus rapides que les gondoles et autres embarcations en tout genre), y compris l'équipe de Nyon, prête à rivaliser avec Lausanne. Au coup de canon, les équipages démarrent, en essayant de se frayer un chemin au milieu des autres bateaux et des nombreux poteaux en bois qui parsèment la lagune. Le ciel est sans nuage et un vent léger rafraîchit agréablement les rameurs. Après un début de course groupé, l'écart se creuse entre les bateaux et Nyon prend la tête, devant une des yolettes de Lausanne et le huit de l'université. Malgré une fin de course agitée par des vagues avant l'entrée dans les canaux de Venise, tous les bateaux terminent sans encombre, les plus rapides en un peu plus de deux heures.

Dans le Canal Grande

[Le Canal Grande (sans nos bateaux)]	[Encore 1,5 km...]
[Encore 1,45 km...]

Après un retour au parking à travers les canaux et le remontage des bateaux sur la remorque, il est temps de saluer ceux qui rentrent par la route et d'aller explorer les quartiers moins connus de la ville.

Merci à René Libal et Jean-François Balimann, qui nous ont fait bénéficier de leur organisation (surtout pour le superbe ponton flottant très apprécié par les rameurs de tous pays qui y ont accosté, croyant qu'il s'agissait d'une prestation des organisateurs vénitiens...) ainsi qu'à tous les participants pour leur bonne humeur.

PS : nous vous rappelons que Nyon nous doit une bière pour leur avoir précisé que le train partait à 21h50 et non 22h30 le dimanche soir...

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